Skip to content

Archive pour

Il est tout près. Nous vivons ensemble.

La chatte passe boire.

Le chaton magnifique a récupéré la chaise près du poêle.

La parade vers dehors. Le temps est bon.

Un des chatons a pris place dans le fauteuil que mon père aimait.

Un chaton dans les croquettes

Le chat adolescent est sur la tablette à l’étage.

Hier, dix heures 30, à mon arrivée, un chaton est venu me saluer. Il avait refusé d’entrer à la maison, la veille.

J’ai des abeilles domestiques qui sortent d’un des coins du mur de la maison, à l’avant. Depuis quatre ou cinq ans. Mais il est beaucoup trop tôt. Et, dès qu’elles se posent dans la neige, ça excite les chats, mais elles meurent immédiatement de froid. Les chats cherchent à les manger.

Et voici celle dans la neige :

J’ai noté au fil du temps plusieurs passages çà et là sur la création, l’étonnement, le sens du merveilleux et de la découverte.

Vous trouverez cette photographie d’Albert Einstein prise en 1904-1905 sur la page de Wikipédia qui lui est consacrée. Et voici.

« Einstein, paradoxalement, invente peu. Il met le doigt sur le défaut — souvent une incompatibilité légère, mais certaine, entre deux développements théoriques. Il réarrange tranquillement les morceaux du puzzle, tout s’emboîte, merveilleusement, et la vérité déconcertante apparaît. »

Maurice Arvonny, , Ce qui a changé en 1905, Le Monde (Paris), 14 mars 1979.