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Et la voici cette Isia isabelle dans ma main. Elle est adorable. Je ne cesse de lui parler.

Elle est immobile pendant un bout de temps. Bientôt, constatant que nous ne sommes pas dangereux, elle se met à marcher. C’est vraiment une bonne bête.

Et voici cette autre Isia isabelle.

Et suivez-la. Je vais la prendre.

Il faut être attentif, car il y a plus d’une Isia isabelle à ce temps-ci. Voici la première.

Voici la seule des deux mangeoires disponibles maintenant dans les arbres pour les chardonnerets : celle-ci et la métallique. Il faut répartir autrement les mangeoires.

Je n’ai plus de ratons laveurs sur la galerie avant, mais j’ai des singes dans les arbres à deux cents pieds de la galerie.

Ces singes ont décroché trois mangeoires et les ont vidées au sol. En voici une.

Ça va me prendre maintenant une cage pour singes et une destination autre que le Yukon.

Encore un long voyage en perspective.

Pas facile la vie de tenancier pour les oiseaux.

Voici un autre oiseau incroyable. Qui est-il ?

Ce lieu s’enrichit de petits vivants.

Voyez cet oiseau magnifique, tout mince, tout élancé. J’opterais pour la Paruline jaune jeune.

Mais les quelques traits dans son cou et sa poitrine me font hésiter.

Derrière ces deux chardonnerets, il y a une paruline les observant, qui serait peut-être une Paruline à croupion jaune femelle.

Tiens, l’écureuil qui se promène.

Reconnaissez-vous l’Impatiente du cap à l’avant-plan ?

Cette plante, aimée des colibris lorsqu’elle est en fleur, vit d’eau d’abord, et à l’ombre. En ce moment, rendue à la fin de septembre, elle se vide de son eau et c’est ainsi. Elle sèche lentement. L’année prochaine, elle va sans doute reprendre vie.

C’est vraiment merveilleux de la voir aller.