Skip to content

Archive pour

Le 14 septembre.

Et qui a déféqué de cette manière sur la galerie avant ? Un mangeur de maïs, là aussi. Mais je ne peux dire un raton laveur, car rien n’a bougé sur la galerie avant.

Chose certaine, cette bête est bien habile pour laisser sa carte de visite.

Qui a déféqué de cette manière devant la galerie arrière ? Un mangeur de maïs assurément.

Et voici cette chenille adorable. Vous connaissez son nom, j’en parle souvent. Isia isabelle.

En 1976, les enfants l’adoraient. Car elle jouait avec nous. Toutes et tous étaient aux oiseaux qu’elle soit là.

Et je lui parle encore, comme lorsqu’on lui parlait en 1976.

Toute beauté ce jeune rapace, pas du tout craintif (je suis tout près de lui), il vient de faire le vide. Même les mésanges le craignent.

Le colibri, lui, ne le craint pas, il vient boire. Deux Geais bleus crient. Lui, demeure immobile. Est-il de la famille des éperviers, ou plutôt des faucons ? Il fait bien une trentaine de centimètres de hauteur. Il surveille ce qui se passe. Et me regarde aussi. C’est donc lui qui, il y a trois ou quatre jours, faisait crier les Geais bleus.

Quelques pommettes du grand pommetier.

Un colibri est toujours là.

Un bien jeune Bruant chanteur sur la galerie avant. Et il n’est pas question qu’il parte maintenant. Les Bruants chanteurs, qui arrivent dès le début du printemps, quittent en octobre.

Il continue à y avoir foule chez les chardonnerets.