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À mon arrivée, hier matin, une de mes corneilles avait si chaud qu’elle tenait le bec ouvert.

Je me suis rendu rapidement replacer l’abreuvoir pour les oiseaux, car un autre raton laveur avait jeté celui-ci par terre, et repartir la pompe à la cave pour avoir de l’eau fraîche pour cet abreuvoir. Et cela fut utile à ma corneille.

Le jeune Roselin pourpré qui, il y a 48 heures, demandait à sa mère de le nourrir, continuait hier de battre des ailes, mais savait maintenant se nourrir à la mangeoire.

Ce Geai bleu s’est fait couper la queue, il y a environ un mois, alors qu’il mangeait du tournesol tombé devant la galerie avant.

Je soupçonne la raton laveur d’être sorti du dessous la galerie pour lui sauter dessus et de n’attraper que sa queue, car il n’y a pas de chat aux alentours.

Le geai continue de vivre sans queue.

Le colibri accourt. Je viens tout juste de changer son eau.

Et voici la quatrième fleur d’hémérocalle, celle du côté ouest de la maison.

Hier, quatre premières fleurs d’hémérocalles voient le jour. En voici trois devant la maison.

La quatrième fleur voit le jour du côté ouest de la maison.

La dernière pivoine, cette année.

La mère Roselin pourpré demeure indifférente aux cris de son jeune pour être nourri.

Un jeune Roselin pourpré crie à sa mère pour être nourri.

Un Geai bleu sans queue.

Il mangeait des graines de tournesol tombées devant la galerie avant, quand une bête est sortie du dessous de la galerie et a réussi à lui attraper la queue. Compte tenu qu’il n’y a pas de chat aux alentours, j’ai l’impression que c’est le travail du raton laveur.