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Ce jeune Quiscale bronzé est encore craintif devant les bouchées de pain. Mais il y vient, il y vient.

Il commence à savoir de quoi il se prive, gamin.

Le 3 juillet

L’un des Jaseurs d’Amérique dans l’un des amélanchiers sur le terrain. Il est bien heureux. Il trouve la vie bien riche.

Cet oiseau est habillé tout en nuances.

Pour une image plus grande, placez-en une copie sur le bureau de votre ordinateur.

Tiens, enfin, la Piéride du chou (Artogeia rapae, Imported Cabbageworm) !

Où était-elle passée ? Pourquoi sa si longue absence ? J’aurais aimé qu’elle m’explique sa disparition.

Il y a des roses sauvages sur le terrain. Elles n’étaient pas là à l’achat du lieu en 1976. D’où peuvent-elles venir ? En voici une.

La jeune Sittelle à poitrine blanche est toujours bien heureuse d’une mangeoire d’arachides.

L’Hespérie hobomok.

Celle-ci a des couleurs plus pâles que d’autres hobomok.

Les Hespéries des graminées dans les Mauves.

Ces hespéries, arrivées d’Europe au début du vingtième siècle, abondent cette année chez moi.

Les quiscales bronzés passent de longs moments dans le suif. Ils s’en gavent. Aller plus au nord est pour eux sans intérêt.

Ils préfèrent les Bois-Francs, ces gamins aux grands yeux.

Voici les deux premières framboises sauvages de l’année.