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Une toute jeune libellule, bien mince.

Les libellules arrivées de la côte atlantique se demandent qui je suis, me suivent. Elles vont et viennent et bientôt s’arrêtent près de moi et s’accrochent à un brin d’herbe ou une branche. Celle-ci est la Plathemis lydia.

L’heure est aux libellules en ce moment. Certaines âgées arrivant de la côte atlantique. D’autres toutes petites, fraîchement nées. Voici l’Épithèque canine (Epitheca canis).

L’Hespérie hobomok sans doute.

Depuis une dizaine de jours, cette mangeoire métallique n’intéressait guère les oiseaux. Qui sait, peut-être à cause des grandes pluies.

Voilà des fleurs de mûres. Les oiseaux aiment les mûres, car je trouve des plans ça et là sur le terrain.

Ah voilà la somptueuse Calopteryx-maculata, celle qui a rendu jaloux son conjoint lorsqu’il m’a aperçu.

À chaque année, elle et lui se tiennent tout près des pruniers.

J’ai bien le droit de m’y rendre pour apercevoir cette dame.

Voici l’Hespérie voyageuse (Paones viator)

C’est une hespérie qui aime les prés marécageux humides, où il y a abondance de carex. On ne l’aperçoit pas souvent dans la région deux où se trouve le terrain ; elle est présente occasionnellement dans la région un.

Un jeune Carouge à épaulettes. Rapidement, il se mêle aux autres aux mangeoires et il vit quelques surprises.

Il apprend.

Lentement, la première pivoine y va d’ouvertures.