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Dans des feuilles enroulées les unes sur les autres, invariablement cela suppose un nid d’insectes.

La grande beauté des choses dans ce lieu.

Tout est offert. Tout est donné.

Le 9 juin.

Et voilà ce magnifique, très silencieux cette année, mais heureux d’être ici. Il s’agit du Pic flamboyant.

Hier, il était excité, mais je ne sais pourquoi. Il traversait le grand terrain et se posait ça et là en chemin. Et il revenait de la même façon. J’ai pu à un endroit lui fixer le portrait.

Cette année, il est arrivé le 14 avril et il repartira la dernière semaine de septembre ou les dix premiers jours d’octobre. Il se rend jusqu’au Mexique ou à Cuba vivre son hiver.

Ah, le Colibri à gorge rubis mâle. Il est fort concentré.

Depuis des années, je ne lui donne qu’un mélange de l’eau de mon puits de surface très propre, que j’ai faite analyser, et du sucre blanc. Il n’en faut pas plus. Il faut éviter les autres eaux et les colorants que certains magasins nous proposent. Il en va de la santé de cet oiseau qui vient du Mexique et qui y retournera en septembre. Le mâle part même quelques fois à la fin du mois d’août.

Les tout petits bourgeons roses d’un pommier centenaire, dans la cour arrière.

Les Chardonnerets jaunes sont 7 ou 8, femelles et mâles.

Ici, il y a un peu de chicane entre deux femelles.

Ce Bruant chanteur semble tout jeune.

Le premier, cette année, est arrivé le 7 avril.

Les samares de l’Érable rouge.

On voit bien ici que la femelle Roselin pourpré est plus corpulente que la femelle Chardonneret jaune.