Deux Sizerins flammés vont ensemble.
Le plus coloré est le mâle.
11 Avr
Le plus coloré est le mâle.
Mais il n’en fut rien. L’oiseau est sorti sans même boire de cette eau.
Ils étaient partout.
Cette présence importante semble une reconnaissance de cette espèce pour ce lieu.
Beaucoup d’entre eux étaient arrivés. Ils étaient probablement une vingtaine. Jamais il n’en eut autant, tout d’un coup, lors d’un printemps.
Je savais qu’il chanterait très tôt, il commence à chanter dès son arrivée.
Les autres y étaient allé de pépiements et les oiseaux noirs de répétitions. Mais le véritable chant dans les Bois-Francs, outre celui de la Tourterelle triste, est celui de ce bruant à son arrivée.
Je me rappelle que j’avais une entente avec Michel Lamarche qui animait les retours à la maison à la radio de Radio-Canada en semaine. Je prévenais son recherchiste que telle ou telle espèce était entrée dans les Bois-Francs. Et Michel transmettait cette nouvelle à ses auditeurs. J’ai même eu de courtes entrevues avec Michel, par téléphone, sur le Bruant chanteur.
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