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Le 27 avril.

Bientôt, par petits bonds, il se rapproche de l’escalier de la galerie avant.

Je lui parle. Montera-t-il les deux marches pour venir près de moi ?

Non, il gagne le dessous de la galerie en passant entre deux marches.

Sans doute que la galerie est protectrice pour lui. Et il ne trouvera pas d’ennemis sous la galerie. Les écureuils et les tamias ne se soucient pas sur la galerie de la présence des oiseaux. Jamais ils ne s’en prennent aux oiseaux.

C’est déchirant chaque fois que je vois un oiseau mourir.

Celui-ci, un jeune Tarin des pins, va très mal. Il est ainsi, le bec ouvert, sur la galerie avant à mon arrivée, hier matin.

Je lui ai longuement parlé. Quand je me rends remplir les mangeoires de chardon et de graines de tournesol, il me suit. Il trouve pendant un instant un perchoir libre.

Je regagne mon siège sur le banc de la galerie avant. Que faire ?

Les oiseaux profitent de la galerie avant.

Les « minous » sont sortis !

Le plant de jonquilles.

Un Roselin pourpré se fait les ailes.

Les Pulmonaires ont trouvé la vie dure sous la neige.