C’est déchirant chaque fois que je vois un oiseau mourir.
Celui-ci, un jeune Tarin des pins, va très mal. Il est ainsi, le bec ouvert, sur la galerie avant à mon arrivée, hier matin.
Je lui ai longuement parlé. Quand je me rends remplir les mangeoires de chardon et de graines de tournesol, il me suit. Il trouve pendant un instant un perchoir libre.
Je regagne mon siège sur le banc de la galerie avant. Que faire ?
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