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Il y a du trafic à la mangeoire favorite

J’aime beaucoup le Bruant hudsonien

Chez les migrateurs, c’est la fidélité même.

Dans un document pour moi-même que j’ai fait en 1997 — Les oiseaux de Sainte-Anasse. Mentions journalières —, j’écrivais à son sujet : « Il est présent de la fin d’octobre au début de mai, ne répugnant pas à picorer sur le neige, même quand la noirceur vient. On rapporte qu’il emmagasine ainsi d’importantes réserves de graines, ce qui semble lui permettre de maintenir un métabolisme élevé durant la nuit. Plus que les autres oiseaux, il pourrait alors traverser des nuits plus froides.

Mais jamais il ne s’amène en bande. Il va seul ou par poignée de trois, quatre, cinq ou six. »

Que ces oiseaux ont l’air en santé ! Voyez ce Pic chevelu mâle

Cela me réjouit ! Je les accompagne.

Ils vivent dans un milieu propre.

Le 18 mars

Et voici celle qui trouve le bonheur de manger la tête à l’envers

Un véritable plaisir pour elle.

À mon arrivée, hier avant-midi, ces quatre Tarins des pins m’accueillaient

Chez les tarins, ça brasse aussi !

La tolérance n’est pas facile.

Je suis tout près et ce Pic mineur mâle se laisse distraire par ma présence

Mais je suis allé remplir cette mangeoire de suif.

Le contraste nous permet de bien voir l’œil de la corneille

La corneille, bec ouvert