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Le 20 mars

Et la voici, fort intelligente, ses yeux le disent

L’article de la revue française Epsiloon dont je parlais hier dit que les corbeaux et les corneilles ont de puissants cerveaux de 1, 5 milliard de neurones qui leur servent aussi « à entretenir une vie sociale riche et complexe, permettant de tisser des relations sur un vaste territoire, de diffuser une nouvelle technique, de rameuter la troupe vers une source de nourriture, de donner l’alerte sur d’éventuels dangers ».

S’il m’était donné de travailler à la domestication d’une corneille, ce serait avec celle-ci

Elle fait partie d’un duo migrateur qui revient depuis deux ou trois ans.

Celle qui l’accompagne est plus craintive et se tient loin. Elle la regarde agir et finalement s’approche.

Mais celle-ci est vraiment présente. Elle vient maintenant près de la maison, comme sur cette photographie. Lorsqu’elle crie à distance, je lui fais signe du bras droit que je fais tourner comme un moulin à vent, je lui parle, je lui montre un sac transparent contenant du pain. Mais je ne veux aller plus loin de peur de créer une dépendance, chez elle comme chez moi.

Il s’est vu dans des rangs d’autrefois, au Québec, des gens se rendant au village avec leur corneille sur l’épaule.

La fête dans le pain

L’accueil de ces oiseaux à mon arrivée, hier avant-midi

Un chardonneret s’amène

Le Pic mineur m’a à l’œil

Vues de la fenêtre, les corneilles dans la neige