Marchant à mes côtés et à ma grande surprise, le chat heureux grimpe soudain dans un arbre

À vrai dire, cher Fernand, sur les images, on le voit descendre.Il m’a tellement surpris que ma caméra n’était pas prête pour le voir monter. Il est monté là en une vingtaine de secondes tout au plus, je dirais. La première image est celle où il décide de ne pas aller plus haut. Et j’avais hâte de voir comment il ferait pour descendre.

Ces griffes sont tellement aiguisées qu’il est descendu rapidement par à-coups, cédant tantôt une patte, tantôt une autre. Comme s’il avait fait ça toute sa vie. Ou avait été un monteur de lignes dans une autre vie. Je n’ai donc pas eu, comme dans le livres d’histoire, à appeler les pompiers. Il a facilement et rapidement touché sol.

P.S. Je rentre à l’instant de ma visite quotidienne chez Juliet. Avant de gagner la maison de Québec, je me suis arrêté chez un de mes bouquinistes. Et je viens de trouver pour 5$ un livre de 350 pages de Michel Serres sur le Parasite. J’aime beaucoup cet homme, grand esprit, que j’ai eu la chance de saluer un jour dans le RER à Paris. Il aurait pu m’envoyer promener, moi simple quidam, mais il fut d’une politesse exquise.