Certains peuvent croire peut-être que je néglige les oiseaux, occupé que je suis à d’autres manifestations
Pas du tout. Je les « soigne ». Ainsi dit-on dans les campagnes nourrir les oiseaux. Et je prends note à chaque jour où j’y suis de la présence de ceux que je peux identifier.
Voici dans l’ordre alphabétique ceux qui sont là en ce moment :
Bruant chanteur (abondant cette année, a niché)
Carouge à épaulettes (un ou deux, dont l’ingénieur)
Chardonneret jaune (oscille entre une poignée et 24 individus)
Colibri à gorge rubis (au moins deux, dont un mâle et une femelle)
Corneille d’Amérique
Geai bleu (un seul)
Merle d’Amérique (qui semble revenu après 4 ans d’absence)
Mésange à tête noire (une seule)
Paruline masquée (abondante, a niché)
Pic chevelu (a niché)
Pic mineur (a niché)
Roselin pourpré femelle
Roselin pourpré mâle
Sitelle à poitrine blanche (rare cependant)
Tourterelle triste
Tyra tritri (un ou deux)
Viréo aux yeux rouges (reprend son chant depuis le début de juin)
Sans compter qu’hier, de midi à 14 heures 30, sans arrêt, un hululement se faisait entendre. Toujours le même et sans arrêt, de trois coups en trois coups, constamment répété. Et ce n’est pas le cri de la Chouette rayée.
L’oiseau ci-haut est la Paruline masquée.