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Partir en exploration avec la chatte

J’aime beaucoup. D’autant plus que le terrain est grand et laissé à lui-même, il y a donc beaucoup à découvrir. Autant pour moi que pour elle.

Parfois, elle me suit. Souvent, maintenant, elle me précède. À habiter les lieux nuit et jour depuis plusieurs mois, elle sait peut-être des endroits étonnants que j’ignore ?

À l’aventure !

Je suis un chanceux. Qui peut partir en exploration avec une chatte ensauvagée, prête à tout apprendre à son Roméo ?

Lavérendrye qui aperçoit les Rocheuses après avoir traversé le Canada

4 commentaires Publier un commentaire
  1. Denys Delâge #

    Voilà donc un terrain avec des arbres, de grosses branches mortes, une flore qui émerge tout juste, une chatte sauvage qui le demeure tout en s’apprivoisant. Voilà la partie de la chance donnée à la vie.
    C’aurait pu être l’inverse: une chatte euthanasiée à la SPCA, un espace propre ne dépassant jamais la semelle de mes souliers.
    Je préfère la vie
    Denys Delâge

    5 mai 2020
  2. Jean Provencher #

    Merci infiniment, cher ami. Cette chatte est fort heureuse dans ce milieu abracadabrant qui crie la vie. Et je le suis moi-même, très heureux de la voir aller, et de constater que tout autour tient bon.

    5 mai 2020
  3. MARTIN BOLDUC #

    peut-être que si Lavérendry avait eu une telle compagne dans ses explorations, c’est plutôt une Juliette qui décorerait les armoiries canadiennes!

    7 mai 2020
  4. Jean Provencher #

    Ah, ce serait merveilleux, elle, avec son riche collier de fourrure blanche, plutôt que le visage qu’on nous sert depuis les années 1950 ! Et je la connais, elle en serait très fière !

    7 mai 2020

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