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Prendre place confortablement pour regarder arriver le printemps

6 commentaires Publier un commentaire
  1. Bruno #

    Vos photos m’ont fait sourire ce matin. Merci encore!

    4 avril 2020
  2. Jean Provencher #

    Ma chatte et moi sommes dans le première loge ! Nous ne voulons vraiment rien manquer. Et elle, comme moi, est attentive à la présence des oiseaux. Pas du tout pour les croquer, je l’aurais bien vu depuis 19 mois la semaine prochaine. Elle regarde simplement, contemple. C’est vraiment une bonne bête qui, un jour, a subi une grand malheur dont j’ignore tout de la teneur, et qui lentement, au gré des jours, au gré des mois, durant le jour comme durant la nuit vécus dehors, a su puiser en elle ce qu’il fallait pour enfin en sortir. C’est une grande vivante.

    4 avril 2020
  3. Esther #

    C’est un tel plaisir de la voir ainsi tout près de vous, confiante, tranquille… Après tout ce temps où vous aviez espéré qu’elle s’approche, tout en respectant entièrement sa manière d’être, son rythme… Une grande patience récompensée !

    5 avril 2020
  4. Jean Provencher #

    C’est vraiment une bonne chatte, une championne !

    Merci beaucoup.

    5 avril 2020
  5. Melinda #

    Ooooh! La voilà sur vos genoux !!! Conquise !
    Quel bonheur ! Vous êtes un vrai Alchimiste, mon cher Jean! Bravoooooo!
    Roméo n’aurait pas pu l’amadouer , mais vous SIII !
    Je suis heureuse pour vous deux!!!!
    Je me rappelle quand vous avez dit, après la mort de votre vielle chatte que vous n’étiez pas prêt à en reprendre un/e autre dans cette vie , tellement sa perte vous avait accablé… !
    Elle est quand même bien faite , la Vie, celle-ci, sur terre, elle sait mieux que nous ce qui nous est indispensable;-)
    Et , Dieu merci, elle s’arrange, pour déjouer notre volonté ;-)) 😊🌞😽

    5 avril 2020
  6. Jean Provencher #

    Vous avez bien raison, chère Melinda ! C’est une petite bête merveilleuse, venue de très loin, immensément blessée intérieurement à son arrivée. Elle était absolument inapprochable. Mais même si elle se tenait très loin, très loin, je ne cessais de lui parler, de lui répéter qu’elle pouvait tout à fait maintenir ses distances, que c’était absolument libre à elle. Et je parlais, je parlais. Toujours de très loin, elle a commencé à me suivre sur mon grand terrain. Je lui rappelais encore une fois qu’elle était absolument libre. Et après quatre mois, elle a échappé un premier miaulement très très petit, inaudible, n’était le silence de mon lieu. Et je la voyais puiser en elle toutes les ressources qu’elle pouvait avoir pour redevenir vraiment elle-même. Imaginez, elle avait peur de tout, y compris du vent. Si le vent se levait, elle était terrorisée et gagnait le dessous de la galerie pour sa protection.

    Encore aujourd’hui, elle ne cesse de parler. Et, à chaque fois, je réponds.
    La Vie est assez incroyable !

    Merci infiniment, chère Melinda, de votre mot.

    5 avril 2020

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