Pour honorer la mémoire de Paul Provencher
Il y a bien sûr plusieurs manières d’honorer la mémoire de quelqu’un. Pour mon oncle Paul Provencher, le cousin de mon père Jean-Marie, on pourrait bien déposer une fleur là où il repose.
Pour ce faire, il faudrait gagner le cimetière Sainte-Élisabeth, à North Hatley dans les Cantons de l’Est. Là, une pierre tombale précise que l’aîné de ses enfants, Jean, s’y trouve.
Décédé à 51 ans, deux ans et demi avant la mort de son père, ce dernier, Paul, avait exprimé le désir que ses cendres soient avec son fils Jean à cet endroit.
Il n’y a aucune mention de ce fait, mais je tiens cette information de son fils Jacques, le frère de Jean, qui me disait s’y être rendu avec sa mère, Georgiana Morin, pour respecter la volonté de son père.
Merci beaucoup à mes amis Christiane et Jean pour ces photographies.
P.S. Sur la troisième image, le flèche indique là où se trouve la pierre tombale de Jean.
Bonjour,
Mon grand-père, à son décès, m’a légué ses cannes à pêche et deux livres de votre oncle Paul, le coureur des bois. Je les ai lus et relus, tentant de mimer les techniques qui y étaient décrites. Je les ai malheureusement égarés.
Sauriez-vous où je pourrais me les procurer à nouveau?
J’ai maintenant 53 ans et des pans de ma jeunesse sont toujours accrochés à ces livres de votre oncle.
Merci!
Les ouvrages de mon oncle Paul se sont beaucoup vendus.
À mon avis, la meilleure manière d’en trouver, c’est de fréquenter les bouquinistes, les vendeurs de livres anciens.
Dans la région de Québec, on en trouve.
Probablement aussi que vous en trouverez sur internet. dans des endroits comme AbeBooks.
Bonne chance.
Bonjour M.Jean Provencher,
Hier soir le 31 août 2024.
Une grande partie des petits enfants et arrière petits enfants de Paul Provencher avons eu un rassemblement dans un restaurant de Montréal.
Ce fut extrêmement agréable comme soirée et pleins de très beau souvenirs .
Antoine Provencher.
Fils de Jacques Provencher
Wow ! Quelle belle nouvelle, cher Antoine ! Bravo ! J’ai déjà rencontré Paul à quelques reprises à Baie-d’Urfé. C’était bien agréable. Mais j’ai beaucoup parlé avec Jacques, qui habitait à Saint-Lambert. J’aimais que nous placotions sur différents sujets. Et nous avions en commun d’avoir étudié tous deux à l’Université Laval, lui en Commerce, moi en Histoire.
Merci infiniment pour m’avoir écrit sur cette rencontre d’hier, cher Anoine.