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Un premier Colibri à gorge rubis rentre

Mais il n’a pas sitôt bu à deux reprises qu’un oiseau non coloré, dans des teintes de brun et de gris, s’amène l’effrayer. Je n’ai pu identifier le chenapan tellement tout ça s’est fait vite, je n’avais d’yeux que pour le nouvel arrivé. Mais une dizaine de minutes plus tard, je retrouvais le colibri à l’un des abreuvoirs de la galerie arrière.

Parti du Mexique, cet oiseau est un métronome. L’an passé, il arrivait le 17 mai. Il y a deux ans, le 18 mai.

Pour connaître ses premières mentions printanières depuis 1983, voir ce billet.

Tiens, une Sitelle à poitrine rousse, si vive qu’il est impossible de la photographier. L’oiseau n’est vraiment pas commun. Et la Sitelle à poitrine blanche, elle, est franchement rare. Manifestement, ce n’est pas un milieu rêvé pour les sitelles.

Et puis, assis devant la galerie avant pour observer les oiseaux, un premier bourdon de l’année me tourne autour avec insistance, sans doute impatient d’une première fleur. Mais elles sont encore absentes.

L’an passé, le premier bourdon était là le 19 mai.

Le Pic flamboyant, heureux, continue de crier. Voilà le milieu rêvé pour ce grand mangeur de fourmis, lieu aux très nombreuses fourmilières, faciles à reconnaître, rondes comme des ballons.

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