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Le voici, toujours un des deux petits de l’année, toujours aussi sage, sans jamais me houspiller, se promenant à mes pieds

Je n’ai pas revu l’autre depuis un moment. Et lui trouve le temps bien chaud.

Je vous le dis, les petits de la première année ne nous perçoivent pas comme des êtres de trop. Nous sommes simplement dans le même monde.

 

 

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