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Archive pour

« N’en dis mot. »


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Qu’est-ce que le charme ?

Mes amis, il existe un philosophe et musicologue français, Vladimir Jankélévitch (1903-1985), né dans une famille d’intellectuels russes qui ont fui les pogroms antisémites dans leur pays.

Il faut s’arrêter à ses écrits, rarement faciles, mais si salutaires. Je disais à une amie : Jankélévitch, il est comme un fromage gruyère, ce sont ses trous qui nous nourrissent. Dans un sujet qu’il traite avec amour, il aime quitter soudain la route pour nous emporter tout à fait ailleurs. Nous obligeant à l’étonnement, à une illumination soudaine. Lire la suite

Deux poèmes de Suzanne Paradis

En 1960, Gilles Vigneault, à Québec, et ses amis, comme Cécile Cloutier, Jean-Paul Plante, Suzanne Paradis, Raymond Laberge, Claude Fleury et Jean Miville-Deschênes, animent une revue de poésie — Emourie — faite de poèmes paraissant ou à paraître aux Éditions de l’Arc, ayant pignon sur rue au 1033, rue D’Artigny. Lire la suite

Et puis quoi vous dire ?

Sinon que ce sera des heures de plaisir si vous arrivez à attraper chez votre bouquiniste un ancien dictionnaire de notre parler d’hier. Lire la suite

Une dame d’hier

Dans la série « Réflexions sur le silence » (4)

Phrase magnifique provenant de mes amis Denis et Denys. J’ignore dans quel ouvrage apparaît la réflexion de cet important philosophe Vladimir Jankélévitch (1903-1985). Lire la suite

Et voilà un renard qui ne s’en tire pas comme le précédent

La chasse au renard est reconnue comme étant l’une des plus difficiles qui puisse être faite. Aussi est-il remarquable de constater que, dans un cas particulier, un nemrod ait pu en abattre un dans des circonstances absolument rares. Lire la suite

L’histoire se passe à Kahnawake, une réserve indienne des Mohawks, le long du Saint-Laurent, en Montérégie

On a vu sur le bord de l’eau, samedi matin, à Caughnawaga, un renard brun.

Le farouche habitant de la forêt avait été attiré par l’odeur d’une certaine quantité de poissons que les pêcheurs avaient laissés sur la glace. Lire la suite

Il commence à se faire tard chez les vieux Patriotes de 1837-1838

Chose certaine, la presse de l’époque ne les oublie pas.

On nous apprend la mort de M. François Duquette, décédé, à l’âge de 92 ans, chez son gendre, M. Aug. Dionne, au numéro 692 de la rue Drummond, coin de la rue Sainte-Catherine. Lire la suite

La marcheuse et son chien