Cher Jean-François de La Pérouse
Perdu dans la plus grande mer du monde en 1788, à Vanikoro, lors d’une exploration de l’océan Pacifique.
Ce texte est extrait de mon ouvrage Un Citadin à la campagne, Quatre Saisons à Sainte-Anastasie (Montréal, Boréal, 1995).
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