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Aramis voulait être du portrait

Et instant de tendresse.

Ces trois ânes sont vraiment solidaires. C’est une vraie leçon qu’on prend à les observer vivre.

6 commentaires Publier un commentaire
  1. Andrée Gendreau #

    attendrissants…Il faudrait trouver de façons de revivre avec les ânes…

    19 décembre 2016
  2. Jean Provencher #

    Tout à fait, chère Andrée. Ces bêtes, si simples, et patientes, sont fort attachantes. Les enfants, en particulier, les aimeraient beaucoup.

    19 décembre 2016
  3. Andrée Gendreau #

    Mais Jean, ‘a

    Je sais, qu’on est bien polis, bien élevés mais…. oui, il y a des mais…. je veux voir tes ânes, même de loin…et doucement les approcher…j’attends le moment d’attendre…avec une carotte, de les observer s’interroger: »la carotte vaut-t-elle la peine que je m’approche de cette étrangère?…sais pas… » attendons encore…Peut-être faudra-t-il du temps,
    de la patience? mais moi qui aime les chiens, qui me suis faite apprivoiser par les chats, désarçonner par le cheval et..ayant .honteusement dû invoquer le l’avant-bras cassé et l’interdiction des parents pour laisser les chevaux à mon frère… timidement, humblement, j’aimerais bien aimer les ânes cadets…

    20 décembre 2016
  4. Jean Provencher #

    Nous en reparlerons, chère Andrée.

    Mais, un jour, alors que j’étais là près d’eux, un jeune mère du village tout près, avec deux jeunes enfants, dont un qui ne pouvait que gazouiller assis dans une poussette, s’est approchée assez calmement, mais aussitôt les trois ânes se sont éloignés, craintifs. Et tant qu’elle fut là, ils sont demeurés à distance, malgré mes appels.

    J’ignorais absolument tout de l’âne, sauf de l’avoir vu représenté dans les crèches ici et là lorsqu’arrivait Noël. Mais ils sont tout un monde à découvrir. Et lentement, dirais-je. J’en apprends un peu, un peu, à chaque fois que je leur rends visite. Sous des dehors qui peuvent sembler de pauvreté à qui ne les connaît pas, on découvre qu’ils sont d’une grande noblesse et d’une non moins grande sensibilité. On dirait qu’ils sont de notre monde.

    20 décembre 2016
  5. Gabriel Martin #

    Ils sont vraiment très beaux! J’ai pour ma part une passion pour les alpagas, de caractère et de pelage doux et je devine, à vous lire, que votre amour des ânes prend racine dans une sensibilité comparable. Il est toujours agréable de vous lire. :)

    28 décembre 2016
  6. Jean Provencher #

    Merci beaucoup, cher Monsieur Martin.

    En effet, j’aime beaucoup ces ânes. Je trouve que l’âne nous apprend beaucoup.

    28 décembre 2016

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