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Les médecins n’ont pas bonne presse à Trois-Rivières

enfant malade

Le 3 septembre 1909, Le Bien public écrit :

Une revue anglaise prétend que la qualité principale des médecins est d’inspirer confiance à leurs patients.

C’est quelque chose de difficile à acquérir. Surtout quand il n’y a eu chez les malades, jusqu’à aujourd’hui, pour toute confiance, que celle de la note à payer !

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