«Je l’ai rencontrée et je n’en suis pas revenu»
En 2009, Isabelle Dubois, un copine de France, me faisait parvenir une œuvre de l’écrivain Jacques Poulain — pas notre Jacques Poulin, Européen celui-ci. L’homme, disparu à 46 ans, s’attardait à décrire son amour, ses amours peut-être, dans des carnets, par petits traits. En 1998, la maison d’édition Sulliver, au catalogue original, ayant pignon sur rue à Arles, en Provence, publie le produit de ces carnets sous le titre Volontiers je la décrirais. Extraits. Lire la suite