La Beaurivage s’étend, se répand
Elle n’en peut plus.
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Moi, je ne m’en peux plus de toutes ces manifestations printanières !
Comme ce n’est que la début, j’aurai manifestement encore plus de rides à force de sourire.
Bof, elles en valent toutes la peine !!
Le printemps québécois, une année dans l’autre, est souvent fort varié. Il y en a, comme celui de cette année, où on les appelle, on les appelle, pendant des semaines, désespérément. Mais rien ne bouge. Et soudain les voici avec fracas ! Et jouent leur vie en quelques heures.