J’ai toujours mes Chardonnerets jaunes et mes Bruants hudsoniens
Une poignée de chaque espèce. Cinq ou six. Je me demande si la quatrième image n’offre pas ce chardonneret dont je m’inquiétais le 31 août dernier ou le 6 octobre. J’aimerais savoir qu’il s’agit bien de celui-ci qui aurait retrouvé sa pleine vigueur. On arrive à distinguer les traces d’un mal quelconque autour du bec, mais se cicatrisant.
Et puis, étonnamment, on dirait que les Bruants hudsoniens, qui invariablement se tiennent au sol pour picorer des graines tombées, commencent à prendre l’habitude de se percher aux mangeoires. Je ne sais qui a dit : On n’est jamais mieux servi que par soi-même.
6 commentaires
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Comme ils sont beaux !! Mes élèves seront heureux de les savoir encore chez vous .
Merci, merci, chère Vous. Je vous prie de saluer vos élèves pour moi. Faites-leur part de mes salutations.
c’est intriguant
Ils et elles ont perdu « le nord » non……. « .le sud » !! Un autre comportement mystérieux de la faune et de la nature.
À l’hiver 1996-1997, Monsieur Desmeules, les Chardonnerets jaunes ont passé toute la saison avec moi. C’est la seule année cependant qu’ils n’ont pas émigré.
Merci, cher Jacques. Belle veillée.