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J’ai toujours mes Chardonnerets jaunes et mes Bruants hudsoniens

Une poignée de chaque espèce. Cinq ou six. Je me demande si la quatrième image n’offre pas ce chardonneret dont je m’inquiétais le 31 août dernier ou le 6 octobre. J’aimerais savoir qu’il s’agit bien de celui-ci qui aurait retrouvé sa pleine vigueur. On arrive à distinguer les traces d’un mal quelconque autour du bec, mais se cicatrisant.

Et puis, étonnamment, on dirait que les Bruants hudsoniens, qui invariablement se tiennent au sol pour picorer des graines tombées, commencent à prendre l’habitude de se percher aux mangeoires. Je ne sais qui a dit : On n’est jamais mieux servi que par soi-même.

 

6 commentaires Publier un commentaire
  1. MC Lapierre #

    Comme ils sont beaux !! Mes élèves seront heureux de les savoir encore chez vous .

    8 décembre 2013
  2. Jean Provencher #

    Merci, merci, chère Vous. Je vous prie de saluer vos élèves pour moi. Faites-leur part de mes salutations.

    8 décembre 2013
  3. Henri Desmeules #

    c’est intriguant

    Ils et elles ont perdu « le nord » non……. « .le sud » !! Un autre comportement mystérieux de la faune et de la nature.

    8 décembre 2013
  4. Jean Provencher #

    À l’hiver 1996-1997, Monsieur Desmeules, les Chardonnerets jaunes ont passé toute la saison avec moi. C’est la seule année cependant qu’ils n’ont pas émigré.

    8 décembre 2013
  5. Jean Provencher #

    Merci, cher Jacques. Belle veillée.

    8 décembre 2013

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  1. Ménage entre Chardonnerets jaunes et Bruants hudsoniens | Les Quatre Saisons

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