La nature
Sur notre planète bleue, notre joyau, notre esquif aussi dans l’Univers, qui porte la vie depuis plus d’un milliard d’années, nous avons le bonheur d’en observer de multiples manifestations.
Des hommes montent les plus hautes montagnes, plongent au plus profond des océans pour nous en rapporter des témoignages, des images saisissantes. Relisons de La Pérouse, disparu corps et biens en Océanie, de Bougainville, von Humboldt. Suivons-les dans leur quête assoiffée de manifestations de vie. Leurs témoignages nous sont absolument utiles. Mais nous est-il à tous nécessaire de partir si loin pour découvrir, observer la nature ? En 1787, une année avant de disparaître, de La Pérouse, justement, écrivait : Ne serait-il pas vrai que la vérité est souvent au milieu de nous, sans que nous nous en apercevions ? Philosophes à grandes vues, nous la cherchons dans les cieux, elle est assise à notre porte.
N’ayant pas les moyens de ces grands personnages, et sans doute l’audace, j’ai toujours cherché cette vérité assise à ma porte. La vie vit autour de nous, sans souvent se soucier de nous, un chien qui passe, la corneille qui se fait entendre, le lilas du voisin qui fleurit, un papillon qui nous est soudain donné, j’espère y être attentif. Les propos de cette section du site porteront sur des manifestations de la nature aussi quotidiennes que celles-ci. Pouvoir faire place au chant de la vie.
Et j’aime bien ce propos de l’écrivain français Gérard Haller extrait de Météoriques (Seghers, 2001) : Comme tout, ici, a l’air d’accord ! L’eau, d’accord pour être eau et la forêt pour être forêt, et chaque chose ainsi, ce chemin, ce pin, cette pierre, ce martin-pêcheur, chaque un d’accord pour être celui-là et d’accord pour être avec tous les autres la terre et rien d’autre. Et le plus beau : toutes les choses, ainsi, se tenant les unes les autres… Quelle autre éternité ?
Sur ce site interactif, presque tout le volet « nature » est le chant d’un monde humble très riche.
Sur notre planète bleue, notre joyau, notre esquif aussi dans l’Univers, qui porte la vie depuis plus d’un milliard d’années, nous avons le bonheur d’en observer de multiples manifestations.
Des hommes montent les plus hautes montagnes, plongent au plus profond des océans pour nous en rapporter des témoignages, des images saisissantes. Relisons de La Pérouse, disparu corps et biens en Océanie, de Bougainville, von Humboldt. Suivons-les dans leur quête assoiffée de manifestations de vie. Leurs témoignages nous sont absolument utiles. Mais nous est-il à tous nécessaire de partir si loin pour découvrir, observer la nature ? En 1787, une année avant de disparaître, de La Pérouse, justement, écrivait : Ne serait-il pas vrai que la vérité est souvent au milieu de nous, sans que nous nous en apercevions ? Philosophes à grandes vues, nous la cherchons dans les cieux, elle est assise à notre porte.
N’ayant pas les moyens de ces grands personnages, et sans doute l’audace, j’ai toujours cherché cette vérité assise à ma porte. La vie vit autour de nous, sans souvent se soucier de nous, un chien qui passe, la corneille qui se fait entendre, le lilas du voisin qui fleurit, un papillon qui nous est soudain donné, j’espère y être attentif. Les propos de cette section du site porteront sur des manifestations de la nature aussi quotidiennes que celles-ci. Pouvoir faire place au chant de la vie.
Et j’aime bien ce propos de l’écrivain français Gérard Haller extrait de Météoriques (Seghers, 2001) : Comme tout, ici, a l’air d’accord ! L’eau, d’accord pour être eau et la forêt pour être forêt, et chaque chose ainsi, ce chemin, ce pin, cette pierre, ce martin-pêcheur, chaque un d’accord pour être celui-là et d’accord pour être avec tous les autres la terre et rien d’autre. Et le plus beau : toutes les choses, ainsi, se tenant les unes les autres… Quelle autre éternité ?
Sur ce site interactif, presque tout le volet « nature » est le chant d’un monde humble très riche.
Vous avez tellement raison, chère Gisèle ! Les oiseaux sont vraiment une présence qui nous accompagne, pour qui sait les observer bien sûr et prendre bonheur du fait qu’ils sont là.
J’aimé observer les s’oiseaux, par example cette semaine une trentaine de merle bleu d’amériqiu sont pèrchées dans un arbres leurs pleumages toutes gonflées1 Et les roselin sont déjà arrivées depuis vendredi le 30/03/2012
Justement,J’aime beaucoup observer les s’oiseaux et cette semaine j’ai vue les roselin mâles et femelles le 30 03 2012
C’est fort bien que vous notiez les dates. Conservez-les, ces dates quelque part. L’an prochain, dans deux ans, dans trois ans, vous pourrez comparer. Moi, je les conserve depuis, quoi, 1981, et il m’est possible maintenant de prévoir l’arrivée et le départ de certaines espèces, si, bien sûr, la température ne connaît pas d’excès comme cette année. Chut, entre vous et moi seulement, je me souviens de mon amoureuse durant les années ’80 qui me disait sérieusement que j’avais le gros défaut d’être compulsif à noter ces dates. Et vous savez quoi, je me réjouis depuis longtemps maintenant de l’avoir fait et d’avoir persisté à le faire. Mais n’ébruitez pas ça, c’est entre vous et moi.
Oui, les fleurs de bleuets, les miennes refermées,
blanches, préparant la saison gustative…
Oui, « comme tout ici a l’air d’accord! » …
Cet impressionnant constat me réjouit tout en me confiant sa grandeur…
Il faut mettre nos énergies dans la nature, chère Hélène. Ce ne peut être que la porte de la paix, et de l’enrichissement de nos vies devant le témoignage qu’elle nous livre.