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Aujourd’hui, sur le babillard

Ne nous racontons pas d’histoire. En hiver, perdu dans un rang à la campagne, échappé par la vie, en quête de sens, la saison serait bien longue sans la présence des oiseaux.

 

 

 

 

2 commentaires Publier un commentaire
  1. tu as tout a fait raison jean il y a en ce moment des mangeoires de niger pleine a ras bord de jolis roselins et sizerins et quelques tarins parmis.il doit y en avoir une centaine et ca pepie pas a peu pres.c est ca la beaute de la vie et ca ne fait de mal a personne.merci de faire le resume de l histoire et de la raconter si simplement.longue vie et sante pour que l on puisse apprecier encore ta plume.

    30 décembre 2012
  2. Jean Provencher #

    Merci, cher René. Pour qui prend plaisir aux oiseaux, ces boules de vie, même en plein froid, nous sont tellement précieuses ! Dans mon coin, je n’ai pas de roselins, non plus de tarins. Pas cette année. Profite bien de leur présence.

    30 décembre 2012

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