Skip to content

Articles de la catégorie ‘L’histoire’

Un chaton dort dans l’herbe.

La mère boit et un chaton l’accompagne.

L’un des trois chatons nés dans la maison.

La chatte descend de la corde de bois sur la galerie arrière et deux chatons la regardent faire.

La maison et ses pivoines.

En descendant de la voiture dans le rang, accueil des marguerites.

Vous trouvez chez moi, depuis des années, à Sainte-Anastasie, le Papillon tigré du Canada, une bête magnifique.

J’ai chez moi l’ouvrage de A. H. Rose et O. H. Lindquist, Insectes des feuillus de l’Est du Canada, Ressources naturelles, Service canadien des forêts, 1997, pages 74-76. On trouve couramment le papillon tigré (Pierourus glaucus) (Linnaeus) dans l’est et le centre de l’Amérique du Nord. La sous-espèce canadensis, commune au Canada, est univoltine (…). La sous-espèce hiverne au stade de chrysalide sur le sol ou près de celui-ci. Les papillons jaunes et noirs, très voyants, volent de la fin de mai au début de juillet et on les voit souvent rassemblés autour de charognes ou flaques de boue. Les larves s’alimentent principalement sur le bouleau, le peuplier, le cerisier et le saule et moins fréquemment sur d’autres feuillues. Elles se distinguent par la paire de « cornes » rétractiles à l’arrière de la tête et par les ocelles apparents qui ornent la partie antérieure renflée de leur corps. Comme la larve du papillon tigré ne semble pas causer de dégâts appréciables aux arbres, on devrait admirer le papillon pour sa beauté et accepter la place qu’il occupe dans la nature.

Univoltine, mot qui qualifie une espèce dont le cycle de vie ou la production de descendants s’accomplit une fois par année.

Et en voici deux autres à venir.

Le verger créé par Jos Rousseau durant les années 1920 continue à produire. Voyez ces deux pommes à manger bientôt. Elles sont dans le pommier de la cour arrière.

Quand j’ai acheté ce lieu au printemps de 1976, j’ai consulté le Ministère de l’Agriculture pour connaître ce qu’il pensait des 35 pommiers mis en place par Jos Rousseau durant les années 1920. Et on m’a dit que le pommier vit commercialement de 10 ans à 40 ans, que je devrais maintenant tout raser ces arbres. Ce que j’ai évité.

Tiens, un des malcommodes !