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Articles de la catégorie ‘La maison bavarde’

En 1976

Mon frère Luc.

Dans ce que nous appelions à l’époque « Le Pays de nulle part ».

Vient un moment où on se dit : Nous y sommes !

Une hirondelle bicolore survole le terrain, mais ne se pose pas et file sa route.

L’heure est venue de mettre en place le nichoir.

Le Pic flamboyant ne cesse de chanter. Lire la suite

Voici l’arche, un cœur de vie

Bien humble lieu, mais tellement riche. On comprendra par les terres cultivées — et vous n’en voyez que deux faces — pourquoi tant d’espèces accourent à chaque saison. Tout ce milieu est pour elles.

Lieu d’accueil, d’hébergement, de séjour, lieu d’entre-nous. Lire la suite

Rêvez-vous d’un recueil poétique émouvant, plein de tendresse ?

Mettez la main sur celui-ci, de Francis Jammes (1868-1938). Vous verrez, ce ne sont pas les bruits d’aujourd’hui. On verse plutôt dans la paix. Lire la suite

Tout se précise pour Joseph Napoléon Allard

Vous venez sur ce site depuis quelques mois, alors vous savez que nous sommes à la recherche d’un personnage qui nous intrigue. C’est qu’en mai dernier, et quelques fois par la suite, sont tombés d’une petite ouverture du larmier de ma maison des documents liés à la vie de Joseph Napoléon Allard. Lire la suite

Sur la tombe de Joseph Napoléon Allard

Si vous fréquentez ce site depuis quelques mois, vous n’êtes pas sans savoir que nous sommes à la recherche de Joseph Napoléon Allard, qui fut sellier, fromager et inspecteur de beurreries et fromageries pour le ministère de l’Agriculture du Québec.

Son existence fut révélée par un petit contenant de cuir fait main, tombé d’une ouverture du larmier de ma maison, sans doute poussé à l’extérieur par un écureuil. Lire la suite

Lentement le mystère s’éclaircit

Si vous nous suivez depuis un moment, vous savez que le 26 avril, dernier, jour anniversaire de mon acquisition de cette maison en 1976, je trouvais sur la marche basse de ma galerie avant un petit contenant de cuir fait main. Lire la suite

Toujours à la recherche de Joseph Napoléon Allard

Une quête. Rappelez-vous. Des mots échappés des murs de ma maison.

Ici que des mots en langue anglaise, sur un document lourdement abîmé. Et daté du 8 mars 1895. Et toujours cette histoire du train.

Guère d’indices.

Portrait approximatif d’un personnage inconnu

Je n’en savais rien avant que ma maison ne se mette à parler, échappant des morceaux de documents remontant à plus d’un siècle. J’arrive seulement, lentement, à préciser des souvenances.

Il s’appelait Joseph Napoléon Allard. Où et quand est-il né, mystère. Pour un temps, il habita Warwick. Caractéristique première, son grand amour des chevaux. Pourquoi, allez savoir. Peut-être venu d’une bonne bête que son père possédait et dont il prit soin étant enfant. Lire la suite

Ma maison continue de parler

Dans la série « La maison bavarde », elle livre des messages.

Une nouvelle pièce échappée sur une marche de ma galerie avant.

Il y eut donc un fumeur de cigarettes dans cette résidence, peut-être même une fille ou une femme. Mais comme matériel de calfeutrage, il s’est vu mieux. Lire la suite