Skip to content

Articles de la catégorie ‘Les marginaux’

Joe Beef, un héros connu à Montréal durant le dernier tiers du 19e siècle (Troisième de quatre billets)

Depuis 48 heures, nous sommes chez Joe Beef, le cantinier établi coin de la Commune et de Callière, dans le Vieux-Montréal.

Aujourd’hui : la cuisine et le menu. Lire la suite

Joe Beef, un héros connu à Montréal durant le dernier tiers du 19e siècle (Second de quatre billets)

Hier, nous évoquions la présence d’un héros franchement étonnant à Montréal. Et un journaliste faisait le tour du propriétaire. Aujourd’hui, place à Joe Beef lui-même.

Le célèbre cantinier est âgé d’environ cinquante ans. La neige des ans commence à s’abattre sur sa chevelure et sa barbe. Joe a une taille d’athlète, son biceps a un développement remarquable, sa figure est mâle et martiale. Lire la suite

Joe Beef, un héros connu à Montréal durant le dernier tiers du 19e siècle (Premier de quatre billets)

Rencontre de cet homme cantinier. Lire la suite

Que faire avec ceux et celles qui mendient ?

Les efforts systématiques que l’on fait pour débarrasser la ville des mendiants de la rue prennent des proportions sérieuses. Les citoyens et la police travaillent de concert avec les philanthropes des deux institutions de secours, le refuge de M. Ouimet et la société de protection des vieillards, des femmes et des enfants. Lire la suite

La bonne aventure à Joliette !

Une troupe de Gypsies de Montréal a établi ses quartiers à Joliette pour une semaine.

On dira la bonne aventure ! Lire la suite

Une histoire bien étonnante à Saint-Adolphe d’Howard

Pendant 30 ans, Honoré Paquette a vécu dans la forêt, ne disant jamais un mot à personne, sauf pour acheter ce qu’il lui était nécessaire. Lire la suite

Diogène suis-je, je cherche une solide réflexion sur l’imagination

Ses grandeurs et ses limites.

Mais avez-vous déjà imaginé ce que nous serions sans l’imagination ? Des êtres strictement rationnels, ternes, « auras », au ras-des-pâquerettes.

Tant de bonnes gens vivent toute leur vie enfermés dans le premier degré, incapables du moindre envol, d’imaginer que la vie est bien davantage colorée que ce qu’ils perçoivent. Lire la suite

Chère humanité

Certes, pour ces beaux jours de printemps, alors que tout est à la folie, à la joie de vivre, il est doublement navrant de se heurter à une misère.

 Rue Ste-Catherine, samedi soir, dans l’éblouissement des lumières, la griserie dont est faite la gaieté des foules, au milieu du va-et-vient des théâtres, j’eus cette douloureuse expérience.

 Sur le bord du trottoir, un homme ! un cul-de-jatte, mais un cul-de-jatte raté ; (il lui reste encore une jambe) — tirait péniblement d’un chétif accordéon des sons, faibles, usés d’une tristesse infinie. Lire la suite

À Montréal, le bonheur des gueux

Simone Voisine

La «Noël des gueux», voilà bien comment l’on pourrait intituler la fête de mardi à la «Old Brewery Mission». Lire la suite

Comment la Noël est fêtée à Montréal

À la messe de minuit, les différentes églises de la ville étaient comblées de foules pieuses. Lire la suite