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Articles de la catégorie ‘Les marginaux’

OUPS ! Il y a débat dans la boîte !

Beaucoup de personnes s’arrêtèrent à Sainte-Anastasie en 1976 et 1977. Nous appelions l’endroit Le Pays de Nulle Part. Ayant une profusion de crayons de toutes sortes, nous tenions un journal de bord collectif. Chaque personne était absolument libre d’y laisser un mot, une phrase, une simple pensée, un texte plus long, un dessin, une recette de cuisine, etc., ce qui lui venait à l’esprit. Et chaque intervention dans ce livre était respectée. La plupart du temps non signée. À noter que le Charlie dont il est question est un chat sauvage qui vivait dans la grange, que les enfants pouvaient approcher et nourrir. Voici un autre texte.

Deux pages du journal de bord au mois d’août 1976 dans la campagne, à Sainte-Anastasie. Celle-ci d’abord.

Et celle d’une dame craintive, manifestement.

Dans le livre de bord de Sainte-Anastasie, en août 1976, on trouve sur une page cette simple phrase. Il s’agit d’un rappel du disque de Gérard Manset publié en 1970, « La Mort d’Orion ». Un grand disque. Si jamais il passe, attrapez-le.

Retrouvons le journal de bord de Sainte-Anastasie en 1976. Nous sommes au mois d’août. Une dame ou un homme intéressé s’arrête et cette personne y va, dans le livre de bord, d’une Ode à l’Amour. Je ne me souviens plus de l’auteur.

Ah, chère Vous, cher Vous, je suis un chanceux. J’aime beaucoup ce calepin que m’ont envoyé mes cher-chère de Trois-Rivières, au printemps 1975, Ninon et Pierre. Volons pour être vraiment à nouveau libre.

Ouvrons le mois de mai 2025 avec un extrait du calepin de mes amis de Trois-Rivières — Ninon et Pierre — , un cadeau qu’ils m’ont envoyé en avril 1975.

Retour au calepin-cadeau que mes amis de Trois-Rivières — Ninon et Pierre — m’ont donné en cadeau en avril 1975. Ici, ils m’amènent à un extrait de L’Apocalypse. À l’époque, on l’évoquait. Par exemple, Aphrodite Child, dans 666, en parlait alors.

Nous sommes en juillet 1976. Un visiteur de passage quitte Sainte-Anastasie, mais en signalant qu’il a vraiment envie de revenir « un de ses quatre ». Je laisse ses deux pages, mais j’ignore de qui il s’agit. Il semble venir de Québec.

« L’homme écoute son œil qui voit », sur voie, dans le calepin de Ninon et Pierre, mes amis à Trois-Rivières. Nous sommes en avril 1975.