Et l’oiseau de s’étirer le cou pour savoir si c’est toujours le même photographe.

Ces fruits seront prêts à manger lorsqu’ils seront noirs. C’est le fruit le meilleur pour la santé.
Depuis trois jours, il volait çà et là, sans se poser. Et, enfin, je peux l’avoir.
Attention ! Celui-ci est le premier de l’an passé, le 13 mai, et non celui d’hier.
Pour les premières mentions printanières du Colibri à gorge rubis, invariablement des mâles, voir ce billet.
Après un moment, je me suis mis debout sur la galerie avant et ai demandé à celui-ci qu’il se pose, le temps de permettre une photographie. Et le voici pendant quelques instants, la Piéride des crucifères, car il lui presse de repartir. Sans doute est-il heureux du beau temps printanier.
Savez-vous que certains papillons entendent ? Une chercheure de l’université Carleton, en Ontario, a creusé ce sujet. Voir ce billet.
Par ailleurs, ce papillon-ci, la Piéride des crucifères, est un indigène. Vous pouvez accéder à ce billet à son sujet. La Piéride du chou est arrivée d’Europe durant les années 1850. Depuis ce temps, elle occupe beaucoup de place. Mais la Piéride des crucifères a survécu.
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