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Articles de la catégorie ‘La mort’

Avant-hier matin, j’ai pris au moins 15 minutes pour m’arrêter devant la pierre tombale de René Lévesque et de son épouse Corinne Côté.

J’ai un grand ouvrage de Carl Gustav Jung (1875-1961), médecin psychiatre suisse. Internet le dit « penseur influent et auteur prolifique », fondateur de la psychologie analytique. Ce que j’aime de lui, c’est qu’il s’attarde à l’occasion à l’Asie également, où vit une grande population. On y viendra à l’occasion dans ce livre de plus de 500 pages.

Et, pour les bagarres, les chatons n’aimaient pas la proximité de l’endroit où le petit mammifère fut tué et mangé.

Et pour tout vous dire, nous sommes tous restés en état de choc.

Et je ne savais pas que la chatte, dans un autre monde, pouvait être à ce point féroce.

Quand je suis descendu, la chatte, féroce, est partie avec le morceau.

Et elle l’a tout mangé.

La chatte était absente en train de manger, au pied de la galerie arrière, un petit mammifère.

Il va falloir que j’enlève ce raton labeur qui est venu mourir près de la maison.

Un raton laveur est venu mourir près de la maison du côté du verger.

Hier, la chatte est venue prête à manger cette abeille sur le plancher de la galerie avant. Mais elle l’a repoussée avec sa patte.

Rappelez-vous. À la mi-août, un essaim d’abeilles a quitté un des murs de la maison. Ce fut spectaculaire : https://jeanprovencher.com/2023/08/16/un-lot-dabeilles-domestiques-ou-de-guepes-est-en-train-dessaimer/

Il en est resté dans ce mur de la maison. On les voyait le 16 août : https://jeanprovencher.com/2023/08/17/il-y-a-deux-jours-un-grand-nombre-dabeilles-domestiques-ont-essaime-mais-il-en-reste-encore-quelques-unes-dans-le-lieu-ou-elles-vivaient/

Ces abeilles ont péri par les froids de novembre et décembre. Cette abeille en est une qui n’a pu supporter ces froids.

Je viens de perdre Richard Denis, un ami précieux, décédé dimanche dernier, le 26 novembre, à 70 ans.

Diplômé en Génie rural à l’université Laval en 1979, il a toute sa vie travaillé dans le monde rural.

Nous étant connus à la radio communautaire de Québec, CKRL, nous ne nous sommes jamais quittés. Et Richard a tant aimé vivre dans la joie, dirais-je. Il fallait être tout près de lui pour s’en rendre compte.

Cher Richard, merci beaucoup. De partir, tu m’appauvris.

Merci infiniment, chère Caroline, de m’avoir prévenu de son départ.