Les bourdons sont toujours aussi séduits par les pivoines.

Là je deviens craintif, car je suis allergique aux guêpes. Mais j’ai mon auto-injecteur d’adrénaline avec moi.
Selon Louis Handfield (Les papillons du Québec, Broquet, 2011, p. 233), il est commun dans ma région. À la fois diurne et nocturne. Son habitat : Général : lieux ouverts et humides, champs en friche, jardins, pâturages abandonnés, taillis, fossés, bords des routes.
Je vous rappelle que le bourdon ne pique pas, ce n’est pas une guêpe. Il fait simplement son travail, sans même se soucier de nous. C’est une bonne bête !
Dans ma région, elle est commune. Selon Louis Handfield (Les papillons du Québec, Broquet, 2011, p. 101), voici son habitat : « Partout, même en milieu urbain, mais à l’exclusion des forêts denses ; aime les grandes prairies herbeuses, même celles qui sont humides, les champs cultivés, et même les marais, marais salés et tourbières. Un papillon très cosmopolite. »
« Espèce introduite accidentellement au début du XXe siècle (un peu avant 1910, John A. Morden ayant récolté dix spécimens à London [en Ontario]… L’espèce est maintenant bien établie au Québec. »
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