Personne ne pourrait nous enlever les souvenirs de nos étés d’enfance
Et ils seraient souvent originaux, sans doute. Nous nous réunirions quelque part qu’il faudrait des heures pour permettre à chacune-chacun de nous confier ses étés. Imaginons une pareille rencontre.
L’écrivaine Michelle Le Normand, elle, s’est arrêtée aux siens à L’Assomption au début du 20e siècle. Elle raconte, par exemple, la joie qu’ils avaient, enfants, de faire courir leurs cerceaux dans ce village de Lanaudière. Extraits. Lire la suite