Articles de la catégorie ‘L’écureuil, le tamia’
14 Juil
Pour atteindre les graines de tournesol, ce diable d’écureuil enlève un de mes gants de travail de ce seau.
Et il ne me regarde même pas.
Le Tamia rayé est propriétaire d’un terrier au sud-ouest de la maison. Or, il y a 4 ou 5 portes à son terrier.
Ici, à cause de l’épaisseur de neige, cet hiver, il ne retrouve pas une porte importante pour lui. Et il est convaincu qu’elle est cachée sous cet amas d’herbes séchées écrasées par la neige.
Et je suis certain qu’il a raison, car je l’ai maintes fois aperçu entrant ou sortant à cet endroit.
Manifestement, il faudrait apprendre à l’écureuil à jouer de la musique à bouche, de l’harmonica.
Il y aurait un musicien dans la place.
Le Tamia rayé est de passage.
Pettant de santé !
Bientôt, par petits bonds, il se rapproche de l’escalier de la galerie avant.
Je lui parle. Montera-t-il les deux marches pour venir près de moi ?
Non, il gagne le dessous de la galerie en passant entre deux marches.
Sans doute que la galerie est protectrice pour lui. Et il ne trouvera pas d’ennemis sous la galerie. Les écureuils et les tamias ne se soucient pas sur la galerie de la présence des oiseaux. Jamais ils ne s’en prennent aux oiseaux.