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Articles de la catégorie ‘L’ineffable’

Châteaubriand et le pays donné

Un jour, ce cher Châteaubriand (1768-1848) s’est payé la traite. Il faut bien dire qu’il se la payait souvent d’ailleurs, car il était reconnu, entre autres, pour avoir une fort belle plume. Lire la suite

Et puis comment ne pas les aimer ?

J’étais à une trentaine de centimètres pour les trois premières images. J’aurais pu m’emparer d’eux. Mais j’avais tant leur confiance. Ils se savaient chez eux dans l’Arche. Lire la suite

L’heure est venue de pelleter

La fête, la fête, la fête, c’est bien beau. Mais vient un temps où ça se paie ! Lire la suite

L’arbre, le loir et les oiseaux

Je disais aimer les livres d’enfants pour les images d’abord, avant même le texte. Voici l’exemple d’une de ces merveilles que j’aimais échapper sur le chemin de mes enfants. Lire la suite

Page de journal

La si grande importance du prénom

Je suis bien prudent avec les analystes de toutes sortes : psychiatres, psychologues et autres travailleurs sociaux, car, en deux temps trois mouvements, ils vous déshabillent le poulet et trouve rapidement le bréchet. Lire la suite

De Constantin-Weyer

Ce n’était plus moi qui me penchais sur mon passé, c’était ce passé qui se soulevait jusqu’à moi. Je ne pourrais le vaincre qu’en l’écrasant sous un présent magnifique. Lire la suite

« Un vieux cantique »

«Souvenir du vieux temps» sous-titre L’Étendard du 16 décembre 1890. Moi-même, ça ne me dit rien. Mais allons-y donc. Lire la suite

Page de journal

Aujourd’hui, sur le babillard

Un monde qui appartient au bucolisme, au pastoral. Tellement plus calme qu’il y a deux ans. Un Sizerin flammé songeur, dirait-on. du moins fort calme. Le temps le permet, bien sûr. Lire la suite