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Articles de la catégorie ‘Phrases faisant naître réflexion’

Allons maintenant frapper à la porte du journal de bord de Sainte-Anastasie à l’automne de 1976. Il y a sûrement, de passage, un poète aussi musicien. Mais il ne signe pas, j’ignore qui il est.

Retournons au Pays de nulle part, au journal de bord de Sainte-Anastasie en 1976. Toute personne de passage pouvait y laisser son mot, son dessin, sa couleur, bref ce qui lui vient. Complètement libre à elle. Les trois feuillets, ici, ne sont pas datés, mais, chose certaine, ce n’est plus l’été. C’est écrit que ça pouvait être aussi le milieu du monde des fois ce pays de nulle part. Ah, cela me plaît ; un cinéaste avait tourné un film en Suisse ayant pour titre « Le milieu du monde ». Bon, allons-y.

« Le déchirement des limites ». De Ninon et Pierre.

Allons voir le livre de bord de Sainte-Anastasie à l’automne de 1976. Une dame aime beaucoup ces gens attablés dans les campagnes et non à la ville.

Et nous voici le 16 octobre 1976. Ça cause, ça cause à Sainte-Anastasie.

Dans le livre de bord de Sainte-Anastasie, voici un hors-texte provenant du mensuel français Le Sauvage, format papier de 1973 à 1991. Excellent texte de Serge Moscovici !

Beaucoup de personnes s’arrêtèrent à Sainte-Anastasie en 1976 et 1977. Nous appelions l’endroit Le Pays de Nulle Part. Ayant une profusion de crayons de toutes sortes, nous tenions un journal de bord collectif. Chaque personne était absolument libre d’y laisser un mot, une phrase, une simple pensée, un texte plus long, un dessin, une recette de cuisine, etc., ce qui lui venait à l’esprit. Et chaque intervention dans ce livre était respectée. La plupart du temps non signée. À noter que le Charlie dont il est question est un chat sauvage qui vivait dans la grange, que les enfants pouvaient approcher et nourrir. Voici un autre texte.

Ah, chère Vous, cher Vous, je suis un chanceux. J’aime beaucoup ce calepin que m’ont envoyé mes cher-chère de Trois-Rivières, au printemps 1975, Ninon et Pierre. Volons pour être vraiment à nouveau libre.

Dans notre grand livre de bord de Sainte-Anastasie en 1976, réflexion sur la Nature.

J’aime beaucoup quand mes amis Ninon et Pierre, de Trois-Rivières, y vont aussi d’un autre texte dans le calepin-cadeau qu’ils me donnent en avril 1975.

Ça me plaît. Et nous voyageons.