Étrange publicité pour les enfants à quelques jours de Noël
On dirait bien des fantômes à l’arrière.
La Patrie (Montréal), 9 décembre 1893.
7 Déc
On dirait bien des fantômes à l’arrière.
La Patrie (Montréal), 9 décembre 1893.
J’ai chez moi un livre précieux de l’anthropologue et écrivain Loren Eiseley (1907-1977), The Unexpected Universe, qui connut quatre éditions de 1964 à 1969, avant d’être enfin traduit et publié chez les Éditions Denoël en 1971, L’Univers inattendu. J’y reviens souvent. Voyez l’homme avec une araignée. Une magnifique page de mise en mots poétiques de la nature, de nature writing. Lire la suite
6 Déc
Le célèbre joueur d’échecs Herr Steinitz était à Québec vendredi et samedi derniers.
Il a joué avec les meilleurs experts de l’ancienne capitale et il a gagné sur toute la ligne. Il a eu dix-sept concurrents qui ont tous échoué.
Il est parti samedi pour New-York. Lire la suite
Le Secret
À tous cachons l’étreinte et le plaisir goûté.
Il est doux de garder sur l’amour le secret,
Et de se dérober aux regards de la terre,
Car, plus que le grand jour, aux belles voluptés
Une douceur de miel accorde le mystère. Lire la suite
J’aime beaucoup la mise en mots poétique de la nature, ce que les Américains appellent la nature writing. Un ami et moi avons même fait pression pour la création d’un prix attaché à ce genre littéraire, comme par exemple, le prix du roman policier, à Saint-Pascal de Kamouraska. Mais apparence qu’il nous faudra faire campagne ailleurs que dans la région de Québec pour trouver preneur. C’est ainsi. Et dommage. Nous avions la bonne région pour ce prix. Lire la suite
Ce gars de Lanoraie, sur les bords du Saint-Laurent, était, c’est certain, prosaïquement, bien de son temps qui a vieilli, mais il a aussi échappé à l’occasion certaines belles images. Lire la suite
Si vous avez mieux, ne vous gênez pas.
Toujours, là où habitent des enfants, surgissent de semblables personnages après une chute de «neige à bonhommes». Lire la suite
Celle de Théodore Géricault (1791-1824), au Musée du Louvres, bien connue, et l’autre, rurale, d’un calme infini. Lire la suite
On s’imagine que les temps anciens étaient posés, corsetés, sérieux. L’écrivain libertaire français Henry Poulaille (1896-1980) en a sans doute toujours douté.
En 1943, il nous livre un ouvrage de plus de 400 pages sur les chansons d’amour du 16e siècle en France. Un pavé, quoi. Bien riche pour qui s’intéresse au sujet. Lire la suite
Thème Linen par The Theme Foundry.
Copyright © 2025 Jean Provencher. Tous droits réservés.