Dimanche de préparation à Lévis
On enlève ça et là les jalousies pour les remplacer par les doubles châssis.
Les claques [des couvre-chaussures] sont à l’ordre du jour. Lire la suite
Articles de la catégorie ‘La culture’
16 Oct
15 Oct
Mon abeille attachante a laissé sa vie dans l’arche
Venue de je ne sais où, solitaire n’appartenant pas aux siennes, elle est arrivée voilà plusieurs jours, et a choisi l’endroit comme son lieu de vie. Lire la suite
15 Oct
La chanson demeure, mais son auteur est disparu
Dramaturge, librettiste et poète, Pierre-Jean-Hyacinthe-Adonis Galoppe-Donquaire s’est donné comme nom d’emprunt Cléon Galoppe d’Onquaire. Il est né le 16 avril 1805 à Montdidier, dans la Somme, en France, et il décède le 9 janvier 1867. Lire la suite
Ce soir, à Québec
Mon cher ami Jacques Bertin, chanteur et journaliste, vient de nouveau passer quelques jours au Québec. Je vous ai parlé de lui déjà, voyez ce billet. Lire la suite
Comment ne pas revenir sur le bonheur de la Terrasse à Québec (quatrième et dernier billet)
Depuis trois jours, nous prenons plaisir au grand texte de Cléophe sur la terrasse Dufferin, en particulier les soirs d’été. Ici, il termine en chantant la nuit. Lire la suite
La grandeur de l’automne
L’automne, c’est la plus belle saison de l’année. Vous avez toutes les joies du printemps sans en avoir les désillusions. Lire la suite
Comment ne pas revenir sur le bonheur de la Terrasse à Québec (troisième de quatre billets)
Depuis 48 heures, nous prenons plaisir au grand texte de Cléophe sur la terrasse Dufferin, en particulier les soirs d’été. Poursuivons.
«Un mot pour les amateurs de la chasse aux canards.»
Depuis deux semaines, par cette température superbe et délicieuse dont nous jouissons, les échos du grand fleuve sont sans cesse ébranlés par les détonations des armes à feu. Lire la suite
Comment ne pas revenir sur le bonheur de la Terrasse à Québec (second de quatre billets)
Joseph Vézina (1849-1924)
Avant la venue des neiges, Cléophe tenait à se rappeler l’été sur la Terrasse. Nous l’accompagnons.
Cette grande véranda est en réalité la commune propriété de toute la population. Parlez-nous d’un petit balcon de famille ! Il s’y trouve, par les beaux soirs d’été, jusqu’à dix mille promeneurs; je ne les ai pas comptés, cela grouille trop. Lire la suite
