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Articles de la catégorie ‘Musique’

« Le pied de la côte »

Le pied de la côte de la Fabrique

Vous imaginez un livre qui porterait ce titre ? On se dirait que l’éditeur s’en va à l’abattoir. Mais l’histoire du Vieux-Québec est tellement riche que nous pourrions penser une collection d’ouvrages sur ce thème. Lire la suite

En 1900, la région de Québec vit quelques drames, mais la vie est tout de même agréable

On dit que la chanson magnifique, Un Canadien errant, d’Antoine Gérin-Lajoie, chantée pour la première fois en 1842, est maintenant connue de tous. Lire la suite

L’été est bien loin d’être terminé

Vous avez aimé le Festival d’été de Québec, c’est bien. Mais il reste encore de bien beaux concerts.

Pourquoi ne pas imaginer quitter la ville au mois d’août et réserver maintenant votre place à la campagne. Lire la suite

La saison des excursions sur le fleuve

Hier soir, le vapeur « Berthier », de la compagnie Richelieu, a fait une délicieuse excursion au clair de la lune, aux îles de Sorel. Lire la suite

« La chanson des peupliers »

De Camille Soubise (1833-1901), chansonnier et poète né à Bruxelles et décédé à Paris. Lire la suite

La Saint-Jean à Montréal en 1903

Malgré une pluie menaçante, la foule s’était transportée énorme au parc Lafontaine, mardi soir, veille de la fête nationale. Lire la suite

Pourquoi ne pas aller voir le fildeferiste, l’Américain James Hardy, franchir dans les airs la chute Montmorency !

Et on peut maintenant s’y rendre par train plutôt que par bateau.

 

Le Canada (Montréal), 22 juin 1903.

Le folkloriste Jacques Labrecque aurait 100 ans aujourd’hui

Il est né le 8 juin 1917 à Saint-Benoît-du-Lac, il est décédé à Longueuil le 18 mars 1995. Et ayant fait sa thèse en ethnologie à l’Université Laval sur Jacques Labrecque, personne mieux que Mathieu Perron pouvait nous en parler. À toi la parole, cher Mathieu. Lire la suite

Le parc Labelle, à Saint-Jérôme, lieu de paix

La nouvelle provient du correspondant du quotidien montréalais La Patrie à Saint-Jérôme. Lire la suite

Dans les Bois-Francs, on déplore que les jeunes filles soient attirées par les États-Unis

Nous remarquons qu’il existe une fièvre chez les jeunes filles des cultivateurs pour les États-Unis.

C’est malheureux et nous croyons qu’il y a plus d’avantages pour une jeune fille de rester dans sa famille et de marier un bon cultivateur que d’aller s’étioler dans les manufactures. Lire la suite