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Articles de la catégorie ‘La tendresse’

Quelle beauté !

Au fil du temps, j’ai beaucoup observé le Jaseur des cèdres (Bombycilla cedrorum, Cedar Waxwing), ce fort bel oiseau. En particulier dans mon vieux verger. Lire la suite

Qui sommes-nous donc ?

Voilà que ce site interactif est là, sur la grande Toile, depuis deux ans maintenant. Le samedi 22 mai 2011, à 22 heures 40, Élyse Gariépy et moi le mettions en ligne. Lire la suite

Le cheveu dans l’ourlet

Après Colombine, revoici Fadette. Déjà, j’ai parlé d’elle à quelques reprises, en particulier lorsqu’elle nous emmenait à la cabane à sucre. Lire la suite

Abandonné en naissant

J’évite de vous entretenir trop souvent du mauvais sort de beaucoup d’enfants en 1900, car ce site pourrait tourner en une continuelle lamentation. Mais, tout de même, voici le genre de propos que nous trouvons régulièrement. Celui-ci fait la une de La Patrie du 8 mai 1906. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard (troisième partie)

Et il y avait aussi d’autres scènes comme celles-ci. Baignées de tendresse, dirait-on. Le mois de mai s’offre toujours à nous ainsi. En contrastes, mais en contrastes tendres. En affirmations légères. La vie sur la pointe des pieds. Lire la suite

Si j’étais maître d’école

J’ignore tout de ce Léon Clery qui propose ce texte dans le quotidien montréalais La Patrie du 23 avril 1900 et où il se fait partisan de la bonté pour les bêtes. Et à lire son propos, on se dit «Il en faudrait tellement davantage de cette sorte dans les médias d’aujourd’hui».

Comme disent les Anglophones : Enjoy. Lire la suite

Le marché de Pâques, tant attendu

Voilà longtemps que je vous ai parlé de Colombine. La dernière fois, le 25 juillet, elle nous amenait passer une journée d’été à l’île Sainte-Hélène. Trois semaines auparavant, nous visitions avec elle le marché Bonsecours, à Montréal. Lire la suite

Un bien grand part

Jamais quelqu’un du temps de mes cours en histoire nous avait proposé de prendre connaissance de ce document. Le voici donc. Lettre d’adieu. Lire la suite

Le meilleur moment des amours

Dépouillant la presse en pays profond, pays que j’aime beaucoup, quelle joie quand même de trouver soudain une pareille fleur sur son chemin ! Lire la suite

« L’hiver »

Ah, nous voilà en décembre 1890 et ce cher J. T. O. Saucier, de Trois-Rivières, se sent l’âme à la tendresse, à la poésie, et y va de cinq strophes intitulées « L’hiver ». Lire la suite