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Articles de la catégorie ‘La tendresse’

Aujourd’hui, sur le babillard (troisième partie)

Et il y avait aussi d’autres scènes comme celles-ci. Baignées de tendresse, dirait-on. Le mois de mai s’offre toujours à nous ainsi. En contrastes, mais en contrastes tendres. En affirmations légères. La vie sur la pointe des pieds. Lire la suite

Si j’étais maître d’école

J’ignore tout de ce Léon Clery qui propose ce texte dans le quotidien montréalais La Patrie du 23 avril 1900 et où il se fait partisan de la bonté pour les bêtes. Et à lire son propos, on se dit «Il en faudrait tellement davantage de cette sorte dans les médias d’aujourd’hui».

Comme disent les Anglophones : Enjoy. Lire la suite

Le marché de Pâques, tant attendu

Voilà longtemps que je vous ai parlé de Colombine. La dernière fois, le 25 juillet, elle nous amenait passer une journée d’été à l’île Sainte-Hélène. Trois semaines auparavant, nous visitions avec elle le marché Bonsecours, à Montréal. Lire la suite

Un bien grand part

Jamais quelqu’un du temps de mes cours en histoire nous avait proposé de prendre connaissance de ce document. Le voici donc. Lettre d’adieu. Lire la suite

Le meilleur moment des amours

Dépouillant la presse en pays profond, pays que j’aime beaucoup, quelle joie quand même de trouver soudain une pareille fleur sur son chemin ! Lire la suite

« L’hiver »

Ah, nous voilà en décembre 1890 et ce cher J. T. O. Saucier, de Trois-Rivières, se sent l’âme à la tendresse, à la poésie, et y va de cinq strophes intitulées « L’hiver ». Lire la suite

Les silences du désir

J’y vais d’une suggestion. D’ailleurs le temps qu’il fait est à cela. D’abord, d’abord, des questions. Êtes-vous amoureux ? Avez-vous l’âme baignant dans une infinie tendresse pour l’autre ? Avez-vous près de chez vous un bon club vidéo ? Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard

La délicatesse d’abord. Toute en tendresse. Présente, mais discrète, sans envie de s’imposer. Lire la suite

L’Halisidote maculée

Août et septembre chez moi sont des mois de chenilles. En voici une, l’Halisidote maculée, sur feuille de Cerisier à grappes, se baladant aujourd’hui. Lire la suite

Une journée d’été à l’île Saint-Hélène

Dans la documentation historique, j’ai toujours trouvé qu’on négligeait l’importance de l’île Sainte-Hélène, l’été, en 1900, pour la population de condition modeste de l’est de Montréal. Lire la suite