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Articles de la catégorie ‘La langue française’

Du grand Whitman

Au 19e siècle, aux États-Unis, des auteurs, du grand monde — Emily Dickinson, Ralph Waldo Emerson, Henry David Thoreau et Walt Whitman — ont trouvé leur salut, dirais-je, dans la simple fréquentation de la nature et nous ont laissé des œuvres fort importantes.

Whitman est peut-être moins connu au Québec. Mais Rosaire Dion-Lévesque, lui, né à Nashua au New Hampshire, l’aime beaucoup. Lire la suite

Pour défricher dans les terres de roche

Au pied des Appalaches, par exemple, sur la rive sud du Saint-Laurent. Rien de mieux que « la bûche ».

Elle a son histoire elle aussi !
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Salut, cher Gérald Godin, simplement comme ça, par un beau jour d’été

On ne t’oublie pas, diable !

Dans les livres de mon ami Gérald (1938-1994), j’ai des dédicaces telles que je ne pourrais m’en défaire. Peut-être simplement les donner à mes enfants. J’aime les bouquinistes, mais je serais triste de savoir que les mots qu’il m’adressait ont été largués, errent. D’ailleurs, pourquoi m’en défaire ? J’y reviens souvent. Lire la suite

Publicité estivale d’un des grands magasins de Montréal, W. H. Scroggie, coin Sainte-Catherine et Université

Un anglicisme disparu de notre discours.

Plein air, dit-on.

Du quotidien montréalais Le Canada, édition du 3 juillet 1903

De la grande poète Emily Dickinson

Quelques lignes anonymes en 1955 la présente ainsi : Lire la suite

Extrait de la chronique hebdomadaire sur les questions « relatives aux difficultés grammaticales ou lexicographiques de la langue française » de l’écrivain Louis Fréchette

Sa très courte réponse à Fantine pourrait s’intituler « Au pays des mots perdus ». Il écrit :

Ce que nous appelons « toques », « gloutons » ou « grachias » sont des fleurs de bardane.
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Le français québécois, et peut-être d’ailleurs en Amérique — ô bonheur — est encore persillé de mots qui remontent à très loin

Ces derniers sont liés souvent à la géographie d’un lieu. Ainsi, à Trois-Rivières, jamais nous ne pouvions entendre, apprendre donc, le mot « plée » un substantif féminin. Nous utilisions bien « savane » car il s’en trouvait une petite en bordure du Saint-Maurice au pied du coteau, où, enfants, nous allions aux quenouilles. Mais nous ne fréquentions pas de plées, inconnues pour nous. Lire la suite

Le journaliste Jules Fournier se retrouve à Gainneville, près du Havre, en France (second de deux billets)

Il est en France, envoyé par le quotidien montréalais La Patrie. Après un rassemblement politique à Gainneville, près du Havre, il échange des propos avec un groupe d’agriculteurs. Hier, on apprenait comment il a fait connaissance. Voici la suite :

— Comme cela, on parle toujours français au Canada !

— Alors vous venez de Québec ?… Lire la suite

On trouve vraiment de tout chez les bouquinistes

Même du François Villon (1431-après 1463), poète français. Sur sa page Wikipédia, on dit que ce texte-ci est « destiné à ses amis et compagnons de débauche et fourmille d’allusions et de sous-entendus aujourd’hui indéchiffrables mais qui à coup sûr devaient beaucoup faire rire ses camarades ». Lire la suite