Le Bruant chanteur, longtemps appelé le rossignol au Québec.
Il sera là jusqu’en octobre.
6 Mai
Il sera là jusqu’en octobre.
Il ne chante guère en ce moment, les jours et les nuits sont bien frais.
Mais ça ne serait tardé.
Dans son guide d’identification (Les Oiseaux de l’est de l’Amérique du Nord, Éditions Marcel Broquet, 1989, p. 278), Roger Tory Peterson écrit : Chant bien connu : plusieurs sifflements clairs et rêveurs, faciles à imiter ; 1 ou 2 notes détachées, 3 en trémolo sur un ton différent : Où es-tu, Frédéric, Frédéric, Frédéric ?
Mais il chante beaucoup, sans que je puisse l’apercevoir.
Celle-ci chante en ce moment.
Et au moins quatre ou cinq ont commencé à chanter.
Certains chantent maintenant.
Je savais qu’il chanterait très tôt, il commence à chanter dès son arrivée.
Les autres y étaient allé de pépiements et les oiseaux noirs de répétitions. Mais le véritable chant dans les Bois-Francs, outre celui de la Tourterelle triste, est celui de ce bruant à son arrivée.
Je me rappelle que j’avais une entente avec Michel Lamarche qui animait les retours à la maison à la radio de Radio-Canada en semaine. Je prévenais son recherchiste que telle ou telle espèce était entrée dans les Bois-Francs. Et Michel transmettait cette nouvelle à ses auditeurs. J’ai même eu de courtes entrevues avec Michel, par téléphone, sur le Bruant chanteur.
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