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Articles de la catégorie ‘Carnets des temps d’hier’

Nouvelle page du Calepin-cadeau de mes chers amis de Trois-Rivières — Ninon et Pierre. J’aime cela, car je suis à lire un pavé de l’Inde, un gros livre : La voie de l’essentiel. Et la lecture de ce livre nous envoie à nous-même, comme cette page-cadeau de Ninon et Pierre, qui dit : « Ouvre grand tes yeux… Tu n’es d’autre que ce que tu vois. »

Retour chez mes amis Ninon et Pierre, de Trois-Rivières, et le calepin-cadeau qu’ils m’ont donné en avril 1975. J’aime beaucoup, car l’intervention des deux nourrit les années 1970 sur lesquelles je travaille pour un livre éventuellement. Les années entre 1960 et 1979 furent de grands jours sur mille et un sujet. Et je remercie Ninon et Pierre. Ici, c’est « Je peux vous entendre dans mon jardin. » Je vous souhaite une belle soirée grâce à eux.

Allons maintenant frapper à la porte du journal de bord de Sainte-Anastasie à l’automne de 1976. Il y a sûrement, de passage, un poète aussi musicien. Mais il ne signe pas, j’ignore qui il est.

Retournons au Pays de nulle part, au journal de bord de Sainte-Anastasie en 1976. Toute personne de passage pouvait y laisser son mot, son dessin, sa couleur, bref ce qui lui vient. Complètement libre à elle. Les trois feuillets, ici, ne sont pas datés, mais, chose certaine, ce n’est plus l’été. C’est écrit que ça pouvait être aussi le milieu du monde des fois ce pays de nulle part. Ah, cela me plaît ; un cinéaste avait tourné un film en Suisse ayant pour titre « Le milieu du monde ». Bon, allons-y.

« Le déchirement des limites ». De Ninon et Pierre.

Retour dans mon cadeau-calepin de Ninon et Pierre, de Trois-Rivières, au printemps de 1975. « See it shakes trembling as my life blood bleeds. » Ça brasse !

Allons voir le livre de bord de Sainte-Anastasie à l’automne de 1976. Une dame aime beaucoup ces gens attablés dans les campagnes et non à la ville.

Et nous voici le 16 octobre 1976. Ça cause, ça cause à Sainte-Anastasie.

Nous revoilà dans le livre de bord en 1976 à Sainte-Anastasie. Nous sommes en octobre probablement. Une dame écrit ces deux pages ; elle en est complètement libre. Mais, diable, je n’arrive pas à savoir qui elle est.

Replongeons dans le calepin-cadeau que m’ont donné Ninon et Pierre au printemps de 1975, en provenance de Trois-Rivières. Allons-y, le soir de la veille de la Fête des Patriotes.