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Articles de la catégorie ‘Amour-Amitié’

Les quatre chatons veulent entrer.

Quatre chatons s’en viennent m’accueillir.

Nous revenons dans le cadeau de mes amis de Trois-Rivières — Ninon et Pierre — une surprise, un magnifique calepin qui m’est arrivé en avril 1975. Et on s’en va dans les étoiles.

Déjà, il y a un premier chaton qui veut entrer dans la maison.

Au début des années 1970, j’ai eu trois longues rencontres à Montréal avec René Lévesque en vue de sa biographie. Une rencontre d’une durée en tout de quatre heures. Il s’engage en 1944, à l’âge de 22 ans, comme journaliste faisant partie de l’armée américaine. Et j’ai bien aimé qu’il me parle de la chanson « Lili Marleen » connue des deux camps. Il m’en a même chanté une petite partie. Ici, on le voit à l’âge de 22 ans.

Le chaton dans une boîte sur la galerie avant.

En début d’après-midi, hier, jour de Pâques, les fleurs du Tussilage pas-d’âne sont nombreuses comme un cadeau à l’entrée du site de Sainte-Anastasie, dans les Bois-francs. Après les grands travaux qui n’avaient de cesse, voilà que la beauté prend sa place.

Cette plante était aussi de France à l’origine.

Je garde un très grand souvenir de René Lévesque. Pour le rôle qu’il a joué dans l’histoire du Québec. Et j’ai tout plein de liens avec lui. Sa mère qui habitait le quartier Montcalm et à qui j’avais parlé. Les quatre heures que René Lévesque m’a données à Montréal, à trois reprises, alors que je faisais sa biographie au tout début de 1970. Et ce diable-là m’a envoyé son livre en 1986. J’ai tout plein de liens. Et je prends régulièrement ma route pour gagner ma campagne en empruntant le coin de rue des Érables où j’avais salué sa mère. Penser à lui devant le collège Saint-Charles-Garnier dans Saint-Sacrement qu’il a fréquenté. Puis au cimetière de Saint-Michel de Sillery où il repose depuis 1987.

Les chatons approchés l’un de l’autre.

René Lévesque, bien sûr.