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Articles de la catégorie ‘Babillard’

Pour une nouvelle histoire de Québec (2/3)

Je vous disais hier avoir ouvert, samedi dernier, le 13, le premier salon des 13 sociétés d’histoire de Québec avec une conférence sur la question «Où s’en va l’histoire ?» Lire la suite

Pour une nouvelle histoire de Québec (1/3)

L’escalier Casse-cou

Le samedi 13 octobre, dans l’arrondissement Sainte-Foy—Sillery—Cap-Rouge, se tenait le premier salon des 13 sociétés d’histoire de la ville de Québec. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard

Chez moi, les trois dernières fleurs de l’année, des fleurs d’onagre, au bout d’une tige complètement sèche. Comme si, dans la plante, le dernier bagage de vie s’était réfugié à cet endroit, tout au bout. Un cri. Lire la suite

Très bientôt, vous m’y trouverez

Cette patinoire de place d’Youville est ouverte depuis ce matin. Vous passez par Québec ? Apportez vos patins, elle est là jusqu’aux environs du 20 mars. Lire la suite

Along the road…

Aujourd’hui même,
bien sûr.

Aujourd’hui, sur le babillard (troisième partie)

Une déclinaison de bruns.

L’asclépiade en plein travail, avec l’aide du vent bien sûr.
Les « petits cochons » sont éclatés.
On dirait de petits harfangs aux yeux ronds.

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Aujourd’hui, sur le babillard (seconde partie)

Toujours dans le monde des étrangetés.

Épilobe

Du chiffonnage

Une rencontre.

Les trois frères.

Et l’abondance des Tarins des pins. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard (première partie)

Des étrangetés.

 

Une cachette.

Une fougère illuminée.

Un dépôt.

Et une alliance. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard (seconde partie)

Et ces corneilles qui ne cessent de me regarder à distance depuis quelques heures… Qu’attendent-elles donc ? Bougies noires. Lire la suite

Aujourd’hui, sur le babillard (première partie)

La seconde moitié du 19e siècle.
Des peintres impressionnistes passés chez moi.
Venus travailler par touches.
Le deuxième degré des choses.
Attardés à peindre l’éphémère, dirait-on,
le fugitif, la durée de quelques jours.
Sorte de monde irréel. Un peu.
À cause de cela, bien fragile. Lire la suite